Presse

 

https://www.forumopera.com/actu/proust-antoine-palloc-enfant-jai-ecrit-une-lettre-a-maria-callas-pour-lui-dire-que-jaimerais

https://toutelaculture.com/musique/classique-musique/antoine-palloc-vivier-voix-francaise/

https://toutelaculture.com/musique/classique-musique/antoine-palloc-comme-on-na-plus-le-temps-de-courir-on-prend-le-temps-de-faire-les-choses/

http://www.classique-c-cool.com/interviews/antoine-palloc-nous-sommes-lanneau-qui-mettons-en-valeur-le-diamant

http://www.tutti-magazine.fr/news/page/Antoine-Palloc-Pianiste-Accompagnateur-Instant-Lyrique-fr/

 

Antoine Palloc, maître de l’art de l’accompagnement vocal qui tout au long de la soirée revient tel un leitmotiv, familier, affectueux, attentif dans les extraits de La Clemenza di Tito ou de Cosi fan tutte auxquels il apporte ce surcroît de sensibilité sans lequel l’adjectif divin ne pourrait être accolé au nom de Mozart. (Forum Opéra Karine Deshayes)

Qui dit piano-chant, dit bien évidemment piano, et celui-ci n’est pas en reste. Sous les doigts experts d’Antoine Palloc, les cordes frappées résonnent avec puissance, et leur son ne semble jamais s’arrêter, emportant chaque fin de morceaux dans une infinie délicatesse. (Toute la culture) Salle Gaveau 2022 (Adèle Charvet)

Pourtant, au piano, Antoine Palloc est attentif aux chanteuses, portant leur souffle depuis le clavier, cherchant à jouer à lui seul le rôle de l’orchestre. Son interprétation de l’Andante de Donizetti est particulièrement rêveuse et mélancolique. Avec Patrizia Cioffi et Karine Deshayes, Salle Gaveau 2022 (Bel canto)

… auxquelles le piano d’Antoine Palloc, éloquent, exalté, impérieux sert de fil conducteur – car l’instrument joue ici à jeu égal avec les voix, non simple commentateur mais acteur à part entière, premier élément de compositions janusiennes et neurasthéniques à l’image de leur compositeur. (Forumopera) Salle Gaveau 2022 (Integrale Duparc)

To best support these three performers on the perilous and demanding paths ofHenri duparc, Antoine Palloc gives himself up without reserve, patient when needed, more assertive at other times. Without excessively accentuating the drama already widely present in each composition, he shows the fairest path to each performer, the most musically accomplished in terms of expressiveness, entrusting each one to seize it for the best. More than a simple accompanist, Antoine Palloc once again places himself as a servant of voice and music. (Archyde) (Salle Gaveau 2022)

Pour accompagner au mieux ces trois interprètes sur les chemins périlleux et exigeants d’Henri Duparc, Antoine Palloc se livre sans réserve, patient quand il le faut, plus affirmé à d’autres moments. Sans accentuer de façon excessive le dramatisme déjà largement présent au sein de chaque composition, il montre le plus juste chemin à chaque interprète, le plus musicalement abouti en terme d’expressivité, charge à chacun de s’en emparer pour le meilleur. Plus qu’un simple accompagnateur, Antoine Palloc se place une nouvelle fois en serviteur de la voix et de la musique. (Salle Gaveau 2022) (Olyrix)

Lui, non joueur mais dompteur d’un instrument soumis à d’impossibles caprices rythmiques par deux mains qui semblent compter vingt doigts, élégant lorsque les pages interprétées s’enrobent de papier de soie, fauve dès que le sang espagnol coule, rouge et épais, sur des accords martelés comme des coups d’enclume – et l’on songe à la forge de Lorca dans la romance de la Luna, Luna. (Forum Opéra) (Salle Gaveau avec Béatrice Uria-Monzon)

C’est d’ailleurs la complicité entre les deux artistes qui frappe d’abord, tous deux attentifs l’un à l’autre. Le jeu d’Antoine Palloc qui entre sur scène avec un sourire tranquille, souple, vif et imagé, se teinte de ses couleurs sans être ostentatoire. Il a même la part belle dans la Dedicatoria de Turina, où il emmène la salle dans la mélodie légère et touchante ouvrant les Poemas en forma de canciones du compositeur sévillan. (Olyrix) (Salle Gaveau avec Béatrice Uria-Monzon)

La complicité profonde des deux artistes se ressent sans conteste dans ce programme où le pianiste, comme la cantatrice, ont fort à faire. La précision du toucher d’Antoine Palloc, son imagination jamais mise en défaut, ses connaissances à la fois scientifiques et musicales des chanteurs et de la voix, portent ici ses fruits.(Olyrix) (Beaune avec Mari Eriksmoen)

Un florilège éblouissant servi avec art et porté par le piano attentif et complice d’Antoine Palloc. (Chiara Skerath – Festival de Beaune) Concertclassic.com

Accompagnateur toujours apprécié, Antoine Palloc adapte son jeu à la température de l’interprétation. Le piano aussi s’enflamme chaque fois que nécessaire. (Salle Gaveau – Asmik Grigorian) (Forum Opéra)

Elle trouve en Antoine Palloc -alors qu’il s’agit de leur première collaboration-, un pianiste plus qu’accompagnateur empli de la même passion et d’une rigueur artistique aussi élevée. Leur entente est simplement parfaite et elle est perçue comme telle par un public irrémédiablement conquis ! (Salle Gaveau-Asmik Grigorian) (Olyrix)

Déjà perceptible, la complicité avec Antoine Palloc devient fusionnelle. Dans l’interminable cadence qui conclut la première partie de la scène, le piano parvient à se substituer à la flûte (ou dans la version originelle à l’harmonica de verre) et engage ce dialogue dont on ne sait s’il est duel ou dual. (Salle Gaveau – Jessica Pratt) Forum opéra

Digne successeur de Dalton Baldwin, Antoine Palloc, l’un des pianistes les plus recherchés pour sa culture musicale et sa maîtrise, se montre d’une attention et d’un engagement exemplaires. Autant que la voix, son jeu épanoui exhale les senteurs les plus riches, les plus diverses. (Forum Opéra – FLEURS – Melody Louledjian) LABEL : APARTE.

Tout au long de l’œuvre, le piano d’Antoine Palloc « cogne », se veut violent, meurtrier presque, refusant la complicité doloriste ou l’effusion lyrique. Il dit l’effroi intérieur, l’implacable mise à mort, mais il sait aussi s’attendrir dans les moments de valse triste que réserve la partition. Et que de beautés conjuguées dans le si tragique et émouvant passage de : « J’ai le fil autour de mon cou / J’ai ta voix autour de mon cou ».
Un public rajeuni assiste à ce spectacle prenant et manifeste bruyamment son enthousiasme devant la performance de la chanteuse, émue et ravie, et de son parfait complice. (ODB) La Voix Humaine (Capitole de Toulouse 2020 avec Annick Massis)

Le piano magnifique d’Antoine Palloc soutient et joue un rôle prépondérant dans la tension gardée tout le long de la Voix Humaine. Même lui ne reste pas indemne à la fin… Et son émotion est visible lors des saluts. Son travail est vraiment admirable que se soit dans Bellini ou dans Poulenc. (Carayonk Toulouse) La voix Humaine (Capitole de Toulouse, Annick Massis)

À ses côtés, Antoine Palloc, le réputé accompagnateur de très nombreux artistes lyriques et créateur de la série des récitals « L’Instant Lyrique » est au piano. Lorsqu’on observe ses doigts effleurant délicatement les touches, comme des caresses, il est difficile d’en imaginer le résultat et pourtant la magie opère à chaque instant. Jusqu’à l’évanouissement de la dernière note de chaque morceau le public reste en lévitation auditive. (Opéra de Bordeaux – Karine Deshayes) Forum Opéra

En todo momento, Yoncheva pudo contar con Antoine Palloc al piano, el cual supo crear de forma excelente un fondo sobre el que la soprano pudiera recrearse. (Bachtrack) (Teatro Real Madrid – Sonya Yoncheva)

Acompañó con solvencia y carácter el pianista francés Antoine Palloc. (Teatro Real Madrid – Sonya Yoncheva)

…même si ce coquin d’Antoine Palloc, très en doigts, accapare malgré lui l’attention, dans Ropartz qui lui refuse le simple rôle d’accompagnateur pour le propulser à l’égal du chanteur sur le devant de la scène, dans les mélodies italiennes aussi où le piano parvient à se faire mandoline. Avec Nicolas Courjal (Eléphant Paname) (Forum Opéra)

Jean-François Borras, pour l’occasion magnifiquement servi par l’accompagnement subtil et raffiné d’Antoine Palloc, dont le jeu a offert un écrin idéal à la voix de Borras, comme à celles des nombreux autres grands chanteurs avec lesquels il a collaboré. Son talent d’interprète a pu s’exprimer dans deux morceaux pour piano seul, dont le charmant « In sogno » de Catalani qui donne à entendre le compositeur de La Wally sous un jour un peu différent. (Forum Opera)

Le piano d’Antoine Palloc n’est pas étranger à l’intensité dramatique qu’atteint cette aria attribuée à tort à Vivaldi (elle aurait en fait été composée par Geminiano Giacomelli). La complicité entre les deux artistes s’inscrit dans le temps. Les deux derniers récitals parisiens d’Annick Massis, en 2015 à l’Amphithéâtre Bastille puis au Musée d’Orsay, les réunissaient déjà. À la musicalité de l’une, répond l’imagination attentive de l’autre en une symbiose indispensable à l’exercice du récital. (Annick Massis, Musée d’Orsay) Forum Opéra

Antoine Palloc, pianiste d’âme et de cœur auprès duquel les chanteurs puisent force et confiance, compagnon autant qu’accompagnateur qui, la voix altérée par l’émotion, dédie cette cinquantième soirée à Dalton Baldwin, son maître, mentor et ami, disparu récemment. (Forum Opera) (Récital Karine Deshayes)

Et le jeu élégant d’Antoine Palloc accentue davantage encore cette subtile mise à nu des émotions.  A cet égard, la grande complicité de la chanteuse et de son accompagnateur n’est pas étrangère à la réussite de cette soirée. On sent ici un accord parfait entre les deux artistes qui portent une vision commune de ces poèmes vivants. Cela est d’autant plus admirable que c’est la première fois qu’ils unissent sur scène leurs talents. (Forum Opéra) Stéphanie D’Oustrac.

Une ovation adressée très largement aussi au pianiste Antoine Palloc, accompagnateur et musicien accompli, sachant restituer à renfort de variations de nuances et de tempi chacune des atmosphères propres aux airs et mélodies interprétées, ici l’élan et la fougue amoureuse, là le désespoir et la nostalgie. De quoi rentrer en parfaite symbiose avec son compère d’un soir.  (Olyrix)

Antoine Palloc exalte le lyrisme de la musique. Le pianiste clé de l’Instant Lyrique est ici plus encore que d’habitude l’indispensable fil conducteur, celui qui unit la fougue du ténor à la flamme du basse-baryton, l’ardeur à la chaleur, la force à la puissance, le discours à l’éloquence. (Forum Opéra) (Thomas Bettinger et Nicolas Cavalier)

Et le jeu élégant d’Antoine Palloc accentue davantage encore cette subtile mise à nu des émotions.  A cet égard, la grande complicité de la chanteuse et de son accompagnateur n’est pas étrangère à la réussite de cette soirée. (Forum Opéra) (Annick Massis)

Au piano, Antoine Palloc ne ménage pas ses efforts pour faire plus que soutenir ses partenaires. Sa connaissance approfondie du chant, de l’art lyrique et de son instrument de prédilection lui permet de répondre à toutes les sollicitations, avec une attention permanente et une réactivité immédiate. Rien ne semble pouvoir surprendre sa musicalité.(Olyrix) (Sonya Yoncheva)

Les quatre complices se rejoignent en bis dans « On est grand par l’amour », ultime numéro des Contes d’Hoffmann. Quatre ? Non, cinq, car il serait dommage d’oublier au piano Antoine Palloc, comme toujours à sa juste place qu’il s’agisse de faire rire, sourire chanter, danser, grincer ou pleurer la musique de celui qui aujourd’hui est bien moins le « Petit Mozart » que le « Grand Jacques ». (Forum Opéra)

Au piano, Antoine Palloc fait mieux que se charger, avec son imagination coutumière, de camper le décor et d’accompagner l’interprète : il est le troisième pilier d’un spectacle

Antoine Palloc est le maestro concertatore de la soirée. Le prélude de l’acte III de Werther installe une peine infinie, non pas grandiloquente, mais comme il est écrit, “soutenue”. Et le crescendo, puis l’indication “en animant” qui conduisent à la méditation de l’héroïne, pourraient offrir à maint chef lyrique une occasion de reflexion. (Opéra magazine)

Il faut saluer le talent d’Antoine Palloc qui rebondit avec art de pièce en pièce, remplaçant allègrement l ‘orchestre. Sa palette de couleurs est large et son jeu suffisamment raffiné pour qu’on le remarque sans pour autant tirer la couverture à lui. (Classique c’est cool) (Récital avec Sonya Yoncheva)

Antoine Palloc se glisse dans ce bain de vapeur orientale avec une aisance confondante.(Forum Opera) (Récital avec Joyce El-Khoury)

http://wanderersite.com/2017/05/nicolas-courjal-redonne-vie-a-de-tombelle/

Au piano, Antoine Palloc fait mieux que se charger, avec son imagination coutumière, de camper le décor et d’accompagner l’interprète : il est le troisième pilier d’un spectacle (Béatrice Uria-Monzon – Alain Duault) Forum Opéra

Accompagnateur comme toujours zélé, pianiste caméléon apte à épouser tous les styles, Antoine Palloc se glisse dans ce bain de vapeur orientale avec une aisance confondante, comme si lui aussi avait grandi à Beyrouth. Forum Opéra (Joyce EL-Khoury)

Au piano, Antoine Palloc, est plus qu’un accompagnateur : il tisse avec la musique un dialogue tout en finesse. (Opera Magazine) (Sonya Yoncheva)

En Antoine Palloc, Yann Beuron a trouvé plus qu’un complice. C’est dans une fraternité absolue que ces deux musiciens tissent ces récits qui, pour leur brièveté, n’en sont pas moins immenses. Cette entente coruscante trouve son accomplissement dans le cycle des mélodies de Poulenc qui clôt la soirée : dans un équilibre sidérant, qui fait la part entre amertume, dérision, orgueil et flamboiement, les ruptures et les essors de ce grand maître des destins humains, trouvent une apothéose. Ce piano séduisant et coloré, inexorable et sensible, à l’empathie magistrale, s’insinue entre les mots et fait sourdre ceux que le poète n’a pu dire qu’en creux. Et qu’on écoute encore alors que la dernière note s’est tue. Eperdument. (ODB)

 

http://www.forumopera.com/linstant-lyrique-annick-massis-paris-elephant-paname-le-voyage-vocal

http://cmsdt-spectacles.blogspot.fr/2016/10/recital-de-melodies-francaises-de-y.html

http://www.olyrix.com/articles/production/679/chiara-skerath-antoine-palloc-auditorium-musee-orsay-critique-chronique-compte-rendu-article-recital-6-decembre-2016-charles-gounod-georges-bizet-pecheurs-perles-emile-paladilhe-psyche-ambroise-thomas-felicien-david-rossini-offenbach-la-grande-duchesse-de

http://www.forumopera.com/linstant-lyrique-yann-beuron-paris-elephant-paname-eternel-jeune-homme

http://www.forumopera.com/linstant-lyrique-jean-francois-lapointe-paris-elephant-paname-quebecois-libre-et-hot

http://www.forumopera.com/linstant-lyrique-anne-sophie-duprels-paris-elephant-paname-trois-en-une

http://www.forumopera.com/linstant-lyrique-benjamin-bernheim-paris-elephant-paname-ah-leve-toi-tenor

http://www.classiquenews.com/compte-rendu-concert-paris-amphitheatre-bastille-le-29-avril-2015-recital-annick-massis-soprano-antoine-palloc-piano/

… la voix vogue sur le souffle, et le piano de l’excellent Antoine Palloc apporte un contrepoint coloré à ces pages envoûtantes…                                                           (Opéra Magasine)

… “Bel raggio lusinghier”, dont Antoine Palloc détaille magistralement l’introduction… (Opéra Magasine)

http://operaphile.over-blog.com/2017/05/27-avril-2017-recital-nicolas-courjal-au-palazetto-bru-zane.html

… dans le Don Carlos de Verdi : « Elle ne m’aime pas » – ce dernier étant l’occasion pour Antoine Palloc de faire entendre sa virtuosité dans l’introduction musicale, illustrant l’idée fixe qui hante le roi. (Forum Opéra) (Chorégie d’Orange – Nicolas Courjal)

http://www.concertclassic.com/article/nicolas-courjal-interprete-fernand-de-la-tombelle-au-palazzetto-bru-zane-fougue-sentimentale

Antoine Palloc, tout en stabilité, prestance et souplesse a su soutenir les deux artistes comme personne. Oui, les trois musiciens chantaient, mais c’était bien au-delà de la musique.  (LondonTimes)
On comprends aisément pourquoi les chanteurs font appel à Antoine Palloc : pour son imagination, sa musicalité et sa grande sensibilité pour la voix (NY times)
L’excellent pianiste Antoine Palloc, avait un toucher incroyablement délicat et a su pénétrer et illustrer l’esprit et le style de chaque mélodie. (NY Times)

L’accompagnateur est très souvent laissé dans l’ombre. Antoine Palloc fût superbe, avec le style, l’émotion et la couleur juste pour chacune des sélections.

Il est impossible de ne pas noter la présence d’Antoine Palloc au piano. C’est un partenaire de luxe avec un talent qui lui est propre. (NY Times)

Mme Larmore et Mr Palloc ont su construire un programme de grande variété et qualité mettant en valeur leurs qualités de grands interprètes. Leur compréhension de Kurt Weill nous amène à une bouleversante interprétation de « je ne t’aime pas » et de « love’s philosophy » (The Times)

… Mme Larmore doit remercier son pianiste Antoine Palloc, qui n’a jamais perdu une seconde dans son rôle d’accompagnateur et qui joue un rôle plein de tragédie. Il se sert aussi bien des tempi que des dynamiques expressives. La richesse de ses couleurs est incroyablement variée..
…et lui, Paul Gay, formait avec son pianiste le délicat et rêveur Antoine Palloc une sorte de double resurgi du romantisme, au temps où le grand chanteur Vogel créait les partitions que leur auteur accompagnait au clavier …
Antoine Palloc a fait preuve d’un tempérament de feu dans les mélodies espagnoles. (Opera news)
Antoine Palloc était tour à tour inventif et inspiré dans ses réductions d’orchestre au piano. Son Handel , vif et précis, et son Rossini enthousiaste étaient le reflet de l’influence de son professeur Catherine Collard….Par ailleurs, Palloc était exemplaire dans les sélections de musique Française, que ce soit la virtuosité de Fleur Jetée ou bien les teintes impressionnistes de Debussy. (Classical)
La capacité de transformation des deux artistes est sidérante…. elle se métamorphose tout d’un coup en gitane lascive, et Mr Palloc passe en tourbillon sur les touches, comme s’il voulait se mettre à danser. Le public est emporté. (El Pais)

Le jeu du pianiste Niçois Antoine Palloc caressait et se lovait dans chaque note de Miss Larmore. (London Times)

Antoine Palloc, n’a pas son pareil pour planter un décor, mener une action et illustrer un discours. La Regata Veneziana récupère ainsi sa franche saveur populaire. (Le soir)
Le pianiste Antoine Palloc donne en la circonstance une vraie leçon d’accompagnement. Il possède une virtuosité et un style parfait. (Nice Matin)

Antoine Palloc est mieux qu’un partenaire dévoué, il trouve immédiatement la couleur juste pour restituer chaque écriture pianistique, fût-elle aussi idiomatique que celle de Rachmaninov ou Debussy. Par son engagement, il parviendrait presque à nous faire croire qu’Alfred Bachelet est un compositeur génial. (Sud Ouest)
Le pianiste Antoine Palloc est un accompagnateur idéal, particulièrement doué pour la mélodie Française. (Le Bonhomme libre)
Grâce au toucher et à l’imagination du pianiste Antoine Palloc, la musique du duo Larmore/Palloc devenait miraculeuse.(The Scotsman)
Au piano, Antoine Palloc signe son premier disque. Ce jeune Français fait déjà partie des accompagnateurs les plus recherchés. Son entente avec Jennifer Larmore, en tant que véritable duo est totale. On admire la puissance de son jeu, le savant éclairage des plans sonores, la palette de couleurs et de dynamiques. (Répertoire)
Un récital de cette qualité n’aurait été possible sans un accompagnement de première classe, que Miss Larmore avait en la qualité du pianiste français Antoine Palloc.(Chicago Tribune)
Attentif à la moindre intonation, l’excellent pianiste Antoine Palloc est aussi agréable à regarder qu’à entendre : ses mimiques et son jeu traduisent à eux seuls toutes les facettes des mélodies détaillées par la grande dame (Frederica Von Stade) qu’il accompagne.
Toute la soirée, Antoine Palloc fut plus qu’un pianiste : le pianiste Niçois sait parfaitement devenir un véritable partenaire, en donnant vie à chacune es mélodies qu’il accompagne. (Chicago Tribune)
Il est rare de trouver un pianiste qui soit si flexible, et qui respire parfaitement avec vous.(LA Times)
Avec le pianiste Niçois Antoine Palloc, Miss Larmore a à ses côtés un pianiste qui, doué d’un touché extrèmement cultivé, ne sais pas seulement accompagner avec beaucoup de sensibilité, mais qui prend part à inventer, à respirer, à chanter. (Berliner Zeitung)
Grace au pianiste Antoine Palloc, les airs d’opéra accompagnés au piano ne devenaient plus un suplice stylistique. Antoine Palloc ombrait les teintes de la tristesse des mélodies de Martucci avec une incroyable richesse de nuances. Ici c’est la voix qui accompagnait.

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